Prends soin de toi, champion, tu as tout ce qu'il faut !

Favoriser l'empathie pour débloquer le leadership dont nous avons besoin

Il n'a pas été facile de faire face au COVID-19, mais la résilience a permis à l'Inde d'éviter une catastrophe absolue, même au cœur de la pandémie. Cela dit, on ne peut pas ignorer l'adversité, principalement parce qu'il est difficile de parler de résilience sans parler des obstacles qui sont venus avec sans y être invités.

Des vies ont été mises en danger, des moyens de subsistance ont été affectés, et les chants de "quand ce sera fini" se sont évanouis dans le néant. Avec 14 mois consécutifs d'incertitude, rester motivé est sans aucun doute devenu une bataille difficile, surtout pour ceux qui ont subi des pertes personnelles et des deuils.

Mais en dépit de nos efforts, nous avons vu le plus sombre des revers de la médaille : l'aspect humain de notre existence, autrement perdu dans un monde au rythme effréné, a réaffirmé son importance. En d'autres termes, l'empathie est au cœur de l'image de marque des employeurs, du sentiment des recruteurs et de la perception des demandeurs d'emploi sur le marché de plus en plus restreint de la positivité et des opportunités.

Heureusement pour notre personnel et les parties prenantes en général, Current Global avait cultivé une culture de "transparence empathique" bien avant que la crise n'éclate. Mais la pandémie a clairement montré qu'aujourd'hui plus que jamais, les dirigeants doivent exercer cette fonction avec ardeur. Des conditions de travail modifiées, des interactions humaines limitées, des problèmes de santé croissants : autant de défis de taille pour les employés du monde entier. Et le seul véritable vaccin pour une main-d'œuvre saine et engagée ? Un leadership empathique.

D'abord, se connaître soi-même

Surveillez votre réaction à diverses situations. Qu'il s'agisse de la pression du travail, des soins familiaux, des urgences de santé ou simplement d'être là pour vous. Le fait d'aborder patiemment chacune de ces circonstances peut vous aider à évaluer votre réponse réflexe aux circonstances. Conquérir cette introspection peut vous aider à mieux comprendre votre personnel. Mais attention, tout le monde ne réagit pas aux circonstances de la même manière. Après tout, les émotions sont complexes, et c'est là que les choses se compliquent.

Soyez perspicace, pas affirmatif

L'empathie va au-delà du simple fait de "leur faire savoir" que vous "serez là pour eux". La solution ? Pour commencer, débarrassez-vous des références sans tact et des plaisanteries inoffensives car, pandémie ou pas, les remarques désinvoltes peuvent faire dérailler considérablement une conversation productive. Prenez soin de vous engager pleinement dans une conversation. Vous gagnerez ainsi la confiance de vos collègues, ce qui contribuera grandement à atténuer la détresse et les perceptions erronées à long terme.

Se mettre dans la peau d'un autre

Si vous ne faites pas abstraction de vos préjugés et de vos privilèges, il est difficile de s'engager auprès de quelqu'un qui a besoin de vous. au moment présent. Si un collaborateur ne tient pas ses promesses à plusieurs reprises, mettez-vous à sa place avant de remettre en question ses capacités. (Votre capacité d'introspection devrait vous aider dans ce domaine.) Et même lorsque vous l'interrogez, acceptez le fait que vous pourriez obtenir plus de silence que de réponses, car la volatilité d'aujourd'hui ne peut être évitée qu'avec une bonne dose de patience et d'acceptation.

Enfin, que faites-vous lorsque rien de tout cela ne fonctionne ? C'est simple. Faites en sorte qu'il soit de VOTRE responsabilité d'être attentif aux signes de surmenage ou de stress. Cela peut sembler injuste, mais comprenez que la pandémie a fait perdre beaucoup de chaleur. Alors, même si des gestes simples comme un appel imprévu à l'équipe ou une livraison surprise de petits gâteaux peuvent encore ramener quelques sourires, il faut faire beaucoup plus. Il faut changer beaucoup plus de choses.

En tant que dirigeants, soyons ce changement.